jeudi 17 mai 2007

Le Glamour et le PCF sont ils incompatibles? ;-)




MONICA BELLUCI...(n'est pas communiste, certes, mais est très glamour!)

(Bon, et c'est aussi un geste pour Reporters sans frontières)

7 commentaires:

Anonyme a dit…

ohlalalalala

si monica est au pc je prend ma carte tout de suite !!!!!

bazbaz

SAd___ a dit…

Elle me fait penser à Aline, la secrétaire de la cellule croix-rousse (nous avons effectivement gardé le terme !).
Sauf que elle est blonde et me semble avoir des jambes plus longues (mais la photo est limitée je l'avoue!).
Et je ne sais pas si elle sera à Cannes cette année ?
Mais si vous voyez Nawel, alors là c'est simplement la grande classe ;)
Et puis, il y a Sô, ...

Osemy a dit…

;-) bon, bon, Sad, on a compris, il est bien le PCF Lyon !!!!!

@Caius a dit…

Pour attirer une Louve à Lyon peut être qu'un bel Alain ferait mieux l'affaire qu'une belle Aline...

Alors le Glamour et le PCF sont ils incompatibles?
A priori non mais y a du boulot...

Anonyme a dit…

"le Glamour et le PCF sont ils incompatibles???"

absolument pas chere louve et nombreux ici seront d accord avec moi pour dire que tu en est la preuve

affectueusement

bernard T

SAd___ a dit…

Vers les docks où le poids et l'ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux

Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages

Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d'éternels étés
Où l'on vit presque nus
Sur les plages

Moi qui n'ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J'aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil

Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d'amour
Un verre à la main

Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M'enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève

Où je vois tendant les bras
L'amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve

Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu'au matin
Debout sur le port

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil

Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon

Prenant la route qui mène
A mes rêves d'enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n'est important
Que de vivre

Où les filles alanguies
Vous ravissent le cœur
En tressant m'a t'on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent

Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil...

Charles Aznavour (pour les intimes ;-)

Anonyme a dit…

Un avis autorisé de l'extérieur : il y avait plein de très jolies militantes à Bercy au meeting de Marie-Georges. Certaines auraient presque pu me convaincre de m'encarter... ;-)