Oh la muse se doit aux peuples sans défense!
J'oublie alors l'ampour, la famille, l'enfance,
Et les molles chansons et les loisirs sereins,
Et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain!
Victor HUGO
mercredi 4 avril 2007
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1 commentaire:
Il savait écrire le Victor !
Ça rend humble ceux qui comme moi peinent à aligner des mots pour leur donner du sens et les rendre agréables à lire...
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